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La ligne A du métro toulousain, construite en 1993, a joué un rôle important dans la mobilité de l’agglomération. La création de la ligne B en 2007 a contribué à l’augmentation du nombre d’usagers du métro. On attend donc des travaux sur le métro Tisséo de Toulouse dans les prochaines années.

Depuis sa création, la fréquentation du métro n’a cessé d’augmenter. En 2013, elle avait augmenté de plus de 5% par rapport à 2004. Avec plus de 400 000 validations par jour pour les 2 lignes, la ligne A peut, chaque jour, être empruntée par 210 000 utilisateurs.

Un article intéressant dans ladepeche.fr explique que la ville rose ressort en tête du classement du magazine l’Étudiant pour la qualité de vie et des études. C’est la première ville où il fait bon vivre ! Ces points forts ? Les transports, l’emploi et le rayonnement international.

Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences. S’il est un critère qui surprend dans ce nouveau palmarès, c’est bien celui des sorties. Alors que Toulouse est réputée pour ces nuits «caliente» et parfois même un peu trop alcoolisées… La cité rose ne pointe qu’à la 23ème place nationale côté fiesta. De quoi faire la tête. Cependant Virginie Bertereau, qui a mené l’enquête précise :

ORPI, le premier réseau immobilier de France dévoile sur son activité des 4 premiers mois de l’année, des chiffres de l’extrême, révélateurs d’un marché immobilier à plusieurs vitesses.

L’Ile-de-France est la région qui concentre le plus les extrêmes. Le prix du mètre carré peut osciller de 8 665 euros pour une maison à Paris contre 1 330 euros pour un appartement à Clichy-sous-Bois en Seine-Saint-Denis.
Egalement en petite et grande couronne, les écarts sont considérables : Clamart (92) et Vincennes (94) sont les villes où le prix de vente moyen est le plus haut avec respectivement 769.286 € pour une maison et 452.714 € pour un appartement ; à Cergy (95) et Corbeil-Essonnes (91) les prix de vente moyens sont les plus bas : 241.000 € pour une maison et 97.898 € pour un appartement.
Les prix de la petite couronne se caractérisent eux aussi par d’importantes variations : -9% sur le prix moyen d’une maison à Saint-Maur-des-Fossés (94) alors que les prix du m2 ont fortement augmenté à Meudon (+10% pour un appartement) et à Gagny (+12% pour une maison.)…

Pour bien investir dans l’immobilier neuf, il faut suivre les critères de sélection à la lettre :

  • L’emplacement
  • Le prix (attention presque aussi important que l’emplacement : un bon emplacement avec un prix très élevé est un très mauvais placement….)
  • L’environnement
  • Les transports
  • Les commerces

Une question que l’on me pose très régulièrement : est-ce le bon moment pour investir ? Cette question n’est pas posée vis-à-vis de l’avantage fiscal, du potentiel de l’immobilier ou d’une éventuelle plus-value car je n’ai pas de boule de cristal, mais vis-à-vis de la situation personnelle de la personne que je rencontre. Investir en loi Duflot à Toulouse sur un logement neuf, bien placé, à un bon prix, reste un bon placement, rentable si vous payez des impôts en adéquation avec le montant du bien que vous achetez. Que ce soit cette année, l’année dernière ou sur les autres dispositifs précédent cette nouvelle loi Duflot. Par contre, la question qui est bien plus importante je pense : est-ce le moment d’investir vis-à-vis de votre situation personnelle : de votre emploi, de vos crédits, de votre patrimoine, de votre situation familiale. Là nous sommes dans une vraie question qui mérite une réponse adaptée, de conseiller et non de « vendeur »….

Je rencontre des personnes qui souhaitent revendre un bien qu’ils avaient acheté il y a des années voir des dizaines d’années et ils ne savent même plus quel était l’avantage fiscal dont ils avaient bénéficié.
Il faut dire qu’il y a eu pas moins de 10 avantages fiscaux différents depuis 30 ans. Même les meilleurs techniciens ne savent plus comment calculer l’avantage fiscal d’il y a 3 an, 2 an, ou cette année. Effectivement, sur ces 4 dernières années il y a eu 4 changements successifs : Loi Scellier à 25%, puis loi Scellier BBC à 22%, puis loi Scellier BBC à 13%, enfin loi Duflot à 18%…..

Les plafonds de loyers, les plafonds de ressources des futurs locataires changent tout le temps, une limitation du prix au m2 apparait puis disparait, un nouveau calcul du plafond des loyers suivant la surface habitable avec un coefficient pondérateur pour limiter les petites surfaces, une année on peut louer à un ascendant ou descendant, l’autre pas….. Vous vous y retrouvez-vous ? Moi pas toujours…