prix au m2 toulouse

La grosse problématique que j’ai toujours rencontré lorsque je recherche des chiffres précis sur l’immobilier c’est qu’on trouve tout et son contraire.
En 2008/2009 au pire de la crise financière, on entendait que l’immobilier allait perdre 30% d’autres disaient 40%, terminé la « bulle »…et puis, à Toulouse, +7 ,7%.
Les années passent et se ressemblent ! Avec les mauvais chiffres des mises en chantiers et du nombre de financements accordés, on constate que la tendance n’est pas bonne et que la construction se porte plutôt mal.
Le gros problème de ces données c’est qu’elles sont nationales, parfois régionales, mais jamais dans une ville, dans un quartier…et pourtant il y a tellement de différence !
Les chiffres officiels sont souvent ceux des notaires. Ils sont officialisés entre 3 et 6 mois après l’acte et dans ce laps de temps un marché peut parfois se « retourner ». Rien de bien fiable du coup et surtout difficile de comparer, car si on constate qu’une maison de 100m2 dans telle rue s’est vendue 10% moins cher qu’une identique il y a un an, on dit immédiatement que la tendance est mauvaise.