Les derniers chiffres des notaires toulousains sont formels, le marché de l’ancien a accusé une légère baisse en 2013 : -1,4% mais un dynamisme sur le début 2014 a déjà « gommé » cette baisse.
Les chiffres de l’immobilier à Toulouse comme dans presque toutes les communes de France sont toujours difficiles à interpréter. Même si deux à trois fois par an des journaux ou magazines donnent des prix au m2 par ville, on constate sur le terrain qu’une maison identique n’a pas la même valeur, d’une rue à l’autre. Suivant le vis-à-vis, le voisinage, la proximité des transports…