immobilier neuf toulouse

Difficile de se faire une idée concrète du marché de l’immobilier neuf à Toulouse, car les chiffres officiels ne paraîtront que dans 6 à 8 mois en raison du gros décalage entre le terrain et l’enregistrement des actes, sans compter que seulement 10% des notaires remontent leurs chiffres, mais les chiffres seront très bon pour ce premier trimestre 2017 c’est une certitude. Pas de boule de cristal, car le premier trimestre n’est pas encore terminé, mais le dynamisme de ce début d’année parle de lui-même.

marché de l'immobilier neuf à Toulouse en hausse

On constate une évolution du marché de l’immobilier neuf à Toulouse ces dernières années

Depuis le début de l’année 2016, l’immobilier neuf s’affole à Toulouse. La tendance est de plus en plus croissante surtout que la fin d’année est souvent la plus dynamique.

Tous les voyants sont au vert. Les taux de crédit sont historiquement bas, une loi fiscale plutôt intéressante avec un avantage fiscal important : 2% par an du montant investi, des placements boursier très volatils et donc risqués dans un climat ou les investisseurs veulent de la sécurité.

Ce quinquennat n’a pas fini de nous surprendre dans l’immobilier, déjà 3 ministres différents en 4 ans. Le dernier : Emmanuelle COSSE.

Tout d’abord, les professionnels et les journalistes sont unanimes sur la contre performance du bâtiment et de l’immobilier lors de la présence de Cécile DUFLOT au gouvernement. Un acharnement pour monter les propriétaires et locataires les uns contre les autres. Des lois à n’en plus finir, des obligations plus contraignantes les unes que les autres et au final un départ précipité de la ministre.

Le marché de l‘immobilier neuf à Toulouse ne progresse pas. Les chiffres sont clairs, il n’y a eu aucune amélioration dans la construction depuis l’année dernière. Les mois passent et se ressemblent dans le secteur en crise de la production de logements neufs. L’objectif de 500 000 logements construits par an par le gouvernement semble désormais très loin.

Les mises en chantier de logements neufs subissent une chute de près de 20 % sur un an, d’après les chiffres publiés par le ministère du Logement. Le nombre des permis de construire est encore en recul annuel de 15,4 % sur la période mars à mai 2014, toujours selon les chiffres du ministère : 82 736 logements neufs seulement ont été autorisés durant cette période.

Dans le contexte économique actuel, l’ancienne ministre du logement laisse derrière elle une loi Alur (Accès au logement et un urbanisme rénové) controversée et la nouvelle ministre en fonction, Sylvia Pinel tient à assurer l’application de cette loi en prévoyant différentes mesures permettant de la mettre en œuvre. Mais regardons ensemble quel sont les souhaits des professionnels de l’immobilier.

professionnels de l'Immobilier neuf toulouse

Après Nantes, mais la plus constante depuis des années, Toulouse Métropole a encore cette année la médaille d’argent de la ville où il fait bon investir d’après le palmarès dressé par Explorimmo et ExplorimmoneufLa ville Rose est aussi classée deuxième ville où il fait bon s’installer selon le CSA.

Le premier dispositif fiscal pour favoriser la construction de nouveaux logements en France a été créé en 1984. Cela fait déjà 30 ans.
Ce tout premier dispositif fiscal était la loi Mehaignerie, elle permettait pour un investissement dans un logement neuf, de bénéficier de 5% de réduction d’impôt du montant investi, puis en 1986, la loi Quiles/Mehaignerie a doublé cet avantage en passant à 10% du montant investi pour un plafond maximum d’investissement en franc proche de 90 000€. Ce dispositif fiscal était le premier et équivalent suivant les foyers fiscaux, il a fallu ensuite attendre la loi Scellier en 2009 et la loi Duflot pour revenir sur un dispositif « équitable » pour tous.
Le dispositif fiscal Périssol en 1996 puis Besson en 1999, suivi de la loi De Robien en 2003, modifiée en De Robien recentré/Borloo en 2008 puis l’arrivée de la loi Scellier en 2009 et enfin aujourd’hui la loi Duflot.
Le but premier, de ces dispositifs qui se sont succédés, a toujours la même origine : favoriser la construction de nouveaux logements et dynamiser l’économie du bâtiment en faisant participer les contribuables français en leur octroyant un avantage fiscal en contrepartie.